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sa fleur cette influence dont la religion et la morale peuvent
s’inquiéter, mais qui vient si joliment souligner les
délicatesses de la passion, aiguiser les hardiesses de l’idée,
adoucir les grossièretés du fait brutal, répandre enfin son élégance
légère, sceptique et parfois pénétrante sur les orages de la
vie, sur ses inconséquences, sur ses horreurs.
… »
Hachette, 1902, Nizet, 1966
propos cités par Romain Lancrey-Javal, dans l’édition de la pièce On ne badine pas avec l’amour
1993, page 122