« …
Maint joyau dort enseveli
Dans les ténèbres et l’oubli,
Bien loin des pioches et des sondes ;
Mainte fleur épanche à regret
Son parfum doux comme un secret
Dans les solitudes profondes.
… »
Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal – Spleen et Idéal – XI. Le Guignon, vers 9 à 14
1861, GF Flammarion, 1991-2006, page 68