Citations et extraits se répondent, et entrent parfois en résonance

Indifférence (Charles Baudelaire, Le Beau navire)


« …

Sur ton cou large et rond, sur tes épaules grasses,
Ta tête se pavane avec d’étranges grâces ;
          D’un air placide et triomphant
Tu passes ton chemin, majestueuse enfant.
 
… »

 

Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal – Spleen et Idéal – LII. Le Beau navire, vers 37 à 40
1861, GF Flammarion, 1991-2006, page 99
 

Résonance :
Fugitive beauté (Charles Baudelaire, À une passante)
 

2 réponses à “Indifférence (Charles Baudelaire, Le Beau navire)”

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