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Ange ou Sirène, qu’importe (Charles Baudelaire, Hymne à la beauté)
« … Que tu viennes du ciel ou de l’enfer, qu’importe, O Beauté ! monstre énorme, effrayant, ingénu ! Si ton œil, ton souris, ton pied, m’ouvrent la porte D’un Infini que j’aime et n’ai jamais connu ? De Satan ou de Dieu, qu’importe ? Ange ou Sirène, Qu’importe, si tu rends, — fée aux…
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Infinités inaccessibles (Charles Baudelaire, Le Guignon)
« … Maint joyau dort enseveli Dans les ténèbres et l’oubli, Bien loin des pioches et des sondes ; Mainte fleur épanche à regret Son parfum doux comme un secret Dans les solitudes profondes. … » Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal – Spleen et Idéal – XI. Le Guignon, vers 9…