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Infinités inaccessibles (Charles Baudelaire, Le Guignon)
« … Maint joyau dort enseveli Dans les ténèbres et l’oubli, Bien loin des pioches et des sondes ; Mainte fleur épanche à regret Son parfum doux comme un secret Dans les solitudes profondes. … » Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal – Spleen et Idéal – XI. Le Guignon, vers 9…