« …
Les soleils couchants
Revêtent les champs
Les canaux, la ville entière,
D’hyacinthe et d’or ;
Le monde s’endort
Dans une chaude lumière.
Là, tout n’est qu’ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté.
… »
Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal – Spleen et Idéal – LIII. L’invitation au voyage, vers 35 à 42
1861, GF Flammarion, 1991-2006, page 100
1861, GF Flammarion, 1991-2006, page 100