« …
Le Poète est semblable au prince des nuées
Qui hante la tempête et se rit de l’archer ;
Exilé sur le sol au milieu des huées,
Ses ailes de géant l’empêchent de marcher.
… »
Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal – Spleen et Idéal – II. L’Albatros
1861, GF Flammarion, 1991-2006, pages 61-62