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La pseudo-connaissance des parasites (Romain Lancrey-Javal)
« … La pseudo-connaissance sert de voile aux parasites qui ne songent qu’à satisfaire leurs appétits gloutons. … » Romain Lancrey-Javal, édition de la pièce On ne badine pas avec l’amour, d’Alfred de Musset Classiques Hachette, 1993, page 171
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Adoucir les horreurs de la vie (Léon Lafoscade, Le Théâtre d’Alfred de Musset)
« … On ne badine pas avec l’amour suffirait à caractériser dans sa fleur cette influence dont la religion et la morale peuvent s’inquiéter, mais qui vient si joliment souligner les délicatesses de la passion, aiguiser les hardiesses de l’idée, adoucir les grossièretés du fait brutal, répandre enfin son élégance légère, sceptique et parfois…
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Un homme qui fait le mal sans être méchant (Jules Lemaître, Impressions sur le théâtre)
« … Perdican est vrai, car Perdican c’est vous, c’est moi ; c’est un homme qui fait le mal sans être méchant, qui souffre, qui aime, qui ne comprend rien au monde, qui doute de la bonté de la vie, et qui persiste à vivre pour aimer. … » Jules Lemaître, Impressions sur le théâtre,…
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La jeunesse, un mythe pour elle-même (Jean-Pierre Vincent)
« … Une époque où l’histoire semble s’être arrêtée et où pourtant elle avance sans les hommes, inexorablement, à l’aveugle. Une époque où chacun peut se sentir en déshérence alors que le mouvement du monde prend une consistance nouvelle, inconnue (il y a « enrichissez-vous » ; il y a les nouvelles machines industrielles ; il y…