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Tout m’afflige et me nuit… (Jean Racine, Phèdre)
« … [Phèdre] Quelle importune main, en formant tous ces nœuds, A pris soin sur mon front d’assembler mes cheveux ? Tout m’afflige et me nuit, et conspire à me nuire. … » Jean Racine, Phèdre, acte premier, scène III, vers 159 à 161 1677-1697, GF Flammarion, 2000-2009, page 84
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Hasard et fatalité (Marc de Launay, Job selon les frères Coen)
« … Si la vertu n’appelle pas automatiquement la récompense, si l’homme le plus respectable peut voir s’abattre sur lui tous les malheurs, alors tout n’est pas écrit d’avance. Il n’y a plus de recette dans la compréhension des choses. Introduire le hasard est indispensable pour échapper à la fatalité. En même temps surgissent…