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Un homme qui fait le mal sans être méchant (Jules Lemaître, Impressions sur le théâtre)
« … Perdican est vrai, car Perdican c’est vous, c’est moi ; c’est un homme qui fait le mal sans être méchant, qui souffre, qui aime, qui ne comprend rien au monde, qui doute de la bonté de la vie, et qui persiste à vivre pour aimer. … » Jules Lemaître, Impressions sur le théâtre,…
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Ce rêve étrange et pénétrant (Paul Verlaine, Mon rêve familier)
« … Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D’une femme inconnue, et que j’aime, et qui m’aime, Et qui n’est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m’aime et me comprend … » Paul Verlaine, Mon rêve familier, in Poèmes saturniens 1866 Résonance : Quand…
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Pour agiter la foule (Friedrich Nietzsche, Le Gai savoir)
« … Celui qui veut agiter la foule ne doit-il pas être le comédien de lui-même ? Ne doit-il pas commencer par se traduire lui-même en grotesquement évident et déclamer aussi bien toute sa personne que sa cause sous cette forme caricaturale et simplifiée ? … » Friedrich Nietzsche, Le Gai savoir –…
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Plonger au fond du gouffre (Charles Baudelaire, Le Voyage)
« … Nous voulons, tant ce feu nous brûle le cerveau, Plonger au fond du gouffre, Enfer ou Ciel, qu’importe ? Au fond de l’Inconnu pour trouver du nouveau ! … » Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal – CIII. Le Voyage Classiques Hachette, 1992, page 168 Résonances : Douleur et nouveauté (Marcel Proust, Du…
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Quand je fais ce rêve étrange… (Mylène Farmer, Serais-tu là ?)
« … Quand je fais ce rêve étrange, Et quand, pénétrant tes songes… … » Mylène Farmer, Serais-tu là ?, sur son album « Innamoramento« Polydor, 1999 Résonance : Ce rêve étrange et pénétrant (Paul Verlaine, Mon rêve familier)
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Deviens ce que tu es (Friedrich Nietzsche, Le Gai savoir)
« … Que dis ta conscience ? — « Tu dois devenir ce que tu es. » … » Friedrich Nietzsche, Le Gai savoir – Troisième livre, paragraphe 270 traduction Patrick Wotling, GF-Flammarion, 1997-2000, page 223 Résonance : Deviens ce que tu es (Manuel Valls, Pouvoir)
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Des bras vraiment ouverts (Stéphane Balmino, De l’air)
« … Et qu’on lui donne enfin (…) De l’air, des bras ouverts qu’on n’referme pas … » Stéphane Balmino, De l’air, pour Olivia Ruiz sur son album « J’aime pas l’amour« Polydor, 2003
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« Pardonnez-moi » (Friedrich Nietzsche, Ainsi parlait Zarathoustra)
« … Pardonnez-moi ma tristesse. Le soir tombe. Pardonnez-moi, si le soir tombe. … » Friedrich Nietzsche, Ainsi parlait Zarathoustra – Deuxième partie, paragraphe « Chanson à danser » traduction Geneviève Bianquis, GF-Flammarion, 1969-2006, page 154 Résonance : « Pardonne-moi » (Mylène Farmer, Pardonne-moi)
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À deux c’est tellement mieux la vie ! (Stéphane Balmino, Le Tango du qui)
« … On nous parle de schizophrénie Mais à deux c’est tellement mieux la vie … » Stéphane Balmino, Le Tango du qui, pour Olivia Ruiz sur son album « J’aime pas l’amour« Polydor, 2003
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La liberté (Friedrich Nietzsche, Le Gai savoir)
« … Quel est le sceau de l’acquisition de la liberté ? – Ne plus avoir honte de soi-même. … » Friedrich Nietzsche, Le Gai savoir – Troisième livre, paragraphe 275 traduction Patrick Wotling, GF-Flammarion, 1997-2000, page 224