« …
[les heureux] finiraient un jour par avoir honte de leur bonheur et
peut-être se diraient-ils entre eux « C’est une honte d’être heureux ! Il y a trop de misère !
» … Mais il ne
saurait y avoir de malentendu plus grave et plus désastreux que de
voir les heureux, les réussis, les puissants par le corps et l’âme
commencer à douter de leur droit au bonheur. Foin de
ce « monde renversé » !
… »
Troisième traité « Que signifient les idéaux ascétiques ? », paragraphe 14
traduction Eric Blondel, Ole Hansen-Love, Théo Leydenbach, Pierre Périsson,
GF-Flammarion, 1996, page 141
traduction Eric Blondel, Ole Hansen-Love, Théo Leydenbach, Pierre Périsson,
GF-Flammarion, 1996, page 141
Résonance :